On ne devrait pas passer autant de temps dans un endroit sans avoir la possibilité d'y épanouir son corps.
47 personnes prennent le metro chaque seconde à Paris mais l'atmosphère n'est pas propice à un relâchement charnel. Pourtant si l'on ne restait pas mesuré dans nos comportements, toute cette foule pourrait former un parfait gang bang. Les flux seraient plus fluides et, l'ambiance y serait meilleurs car les angles arrondis comme la courbe d'un popotin. Explication chevaline et géométrique :
C'est la règle, dans les rames les rangs dans lesquels tu rentres se forment sous certains angles. Alors agissons sur les angles quitte à être dans la démesure... Rappelons le, on ne casse pas du sucre sur une équerre et on n'est pas équidistant de deux licornes quand on se fait encorner par un taureau. Le sucre s'est fait pour être mis dans le café et les équidés t'apportent plus de plaisir quand c'est toi l'étalon que quand tu lis Paris Turf. A l'heure actuelle se déplacer dans le métro tiens plus de la course épique que de la course hippique. Cela doit changer.
Chaque fois que tu ne vois pas la lumière du jour, montre ce qui n'est pas censé être vu. Rend le métro agréable comme une terrasse de café. Fais de la torréfaction avec ton sexe et on t’appellera le gringo.
Un tunnel qui mène au loin mais un tournant qui est peine de loi. Résultat le métro crée du stress et là, Justice propose du stress :
Il faut militer pour la masturbation dans le métro plutôt que de fantasmer sur des chattes taillées en ticket de métro.
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